EPILOGUE La pudeur de Rodolphe est bien connue et il a effectivement éludé la fin de cette normande journée . Le Tourist Bar de Martine, la patronne, ou nous avons terminé cette virée Euri-Orno-Calvadossienne nous a permis de faire une rencontre comme nous en avons parfois une ou deux dans une vie : BRUNO. C’est en quelque sorte le chiffre d’affaires de Martine et à l’occasion le barman de luxe. Nous avons profité largement de ses pensées philosophiques et il est vrai que son charme naturel n’a pas échappé à certaines nordiques, dont je tairais les noms, Leurs yeux s’illuminaient à mesure que notre KANT normand amenait les verres sur la table. La température montait et le soleil orbécien d’octobre prenait des allures tropicales. Merci Rodolphe pour cette belle journée qui, si elle n’a pas laissé de traces physiques hormis les piqûres de guêpe elle a, par contre, laissé des regrets et des soupirs chez quelques unes. Le temps et les kilomètres de novembre et décembre auront raison de tout cela. On compte sur toi Rodolphe, merci d’avance pour elles.
Il est vrai que la lutte était inégale car lorsque la beauté naturelle s’allie au charme dévastateur Que faire ?
Lorsque le charme opère on devient observateur un point c’est tout. Les regards se croisent dans son dos et déjà la jalousie, insidieuse, fait son œuvre.
Marcel
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